Tom Schnell : « L’ambiance à Varsovie, c’était très chaud »

L’ancien défenseur international (49 sélections), passé par l’Union Luxembourg, le Racing, le Fola et Dudelange, et désormais préparateur physique du coté du club doyen, se livre dans notre rubrique « Pour le meilleur et pour le pire ». Le F91 époque Europa League y occupe bien entendu une bonne place…

Tom, quelle est selon toi ta plus grosse performance individuelle sur un terrain ?

C’est difficile à dire, mais pour moi mes plus belles performances furent pendant les matchs d’Europa League avec Dudelange, mais citer un match en particulier… Il y a eu Nicosie, Milan au Luxembourg, beaucoup de matchs où l’on ressortait satisfait. 

Dans quel club as-tu signé ta première licence ?

C’était à l’Union Luxembourg, je crois que ma première licence j’ai dû la signer en 1992. J’ai été jouer là-bas car mon père me disait qu’il y avait une bonne formation pour les jeunes. 

Quel est ton club de coeur, celui que tu places au-dessus des autres, et pourquoi ?

C’est là où j’ai mes plus beaux souvenirs, à Dudelange. Toute cette époque, où pour une fois on avait le même entraîneur trois ans d’affilée (ndlr: Dino Toppmöller), que l’équipe ne bougeait pas trop, le groupe était soudé et ces années furent vraiment belles. 

Quel est ton pire souvenir dans le football ?

Mon pire souvenir ? C’est quand je me suis fait les croisés en 2012 à Canach avec le Fola. Sinon je n’ai pas eu d’autres grosses blessures, juste des petits pépins mais rien de très grave. 

Quel est le joueur le plus fort avec qui tu as joué ?

Je l’ai déjà dit plusieurs fois c’est Dominik Stolz, qui est maintenant à Hesperange. On se voit chaque dimanche après les matchs soit chez moi à la maison ou chez lui, on mange ensemble. On débriefe les matchs ensemble. 

Et le plus fort que tu as affronté ?

Le plus fort contre qui j’ai joué ? Il y en a plusieurs mais je pense que cela reste Cristiano Ronaldo. 

Quelle est la meilleure ambiance que tu aies connu ?

La meilleure ambiance, là aussi c’est difficile de choisir. Les deux déplacements que l’on avait fait à Séville contre le Betis et le FC Séville, c’était vraiment pas mal niveau ambiance. En équipe nationale, je me rappelle qu’on avait joué en Allemagne juste avant la Coupe du monde. En Europa League quand on a joué en éliminatoires à Varsovie c’était très chaud, à Nicosie aussi.

Dans quel club aurais-tu rêver de jouer ? 

En tant que joueur ? Au Real de Madrid. 

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